Pourquoi j’ai recommandé à AFCB de combiner SEO et SEA : retour sur une stratégie d’acquisition double lame

Quand AFCB m’a sollicité pour optimiser sa visibilité digitale, la première question posée a été : faut-il investir en Google Ads, alors qu’on est déjà bien positionné en SEO ? Ma réponse a été claire : oui. Et voici pourquoi.

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Un marché concurrentiel où la marque est attaquée

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Le constat était sans appel : environ 20% des annonces diffusées sur Google l’étaient déjà… sur le nom de marque AFCB. Autrement dit, les concurrents achetaient le mot-clé "AFCB" pour apparaître avant le site officiel.

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📌 Conséquence directe :

• Détournement de trafic qualifié,
  
  
• Risque de confusion chez les prospects,
  
  
• Et perte de chiffre d’affaires… sur des requêtes ultra chaudes.
  
  

Ce que j’ai préconisé ?

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Acheter soi-même sa marque.
Pour un coût minime, AFCB pouvait redevenir propriétaire de sa première place sur Google.

Un investissement défensif ? Oui. Mais indispensable dans un contexte où chaque clic détourné alimente le business d’un concurrent.

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Le SEO ne suffit plus (même quand on est bien classé)

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Autre constat : sur plus de 60% des requêtes stratégiques, AFCB est bien positionné en SEO. Mais cela ne suffit pas. Pourquoi ?

• Sur mobile, les publicités Google occupent l’intégralité de l’écran au-dessus de la ligne de flottaison.
  
  
• Google peut afficher jusqu’à 4 annonces avant le premier lien organique.
  
  
• Les utilisateurs cliquent d’abord sur ce qu’ils voient. Et ce qu’ils voient, ce sont les pubs​.
  
  

Même une première position naturelle devient invisible si elle est repoussée trop bas.

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Ma recommandation :

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Occuper à la fois l’espace payant (SEA) et organique (SEO) pour dominer les résultats de recherche.
Cela augmente la visibilité, mais aussi le taux de clic global (effet de halo).

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Le SEA comme levier de performance immédiate

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Le SEO est un marathon. Il nécessite du temps, des efforts techniques et éditoriaux continus. Le SEA, lui, c’est le levier de l’instantané.

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✅ Visibilité immédiate sur des mots-clés précis,
✅ Tests d’arguments, d’offres, d’accroches,
✅ Pilotage au coût par clic, à la conversion, au ROAS.

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Dans le cas d’AFCB, j’ai proposé une approche simple :

• Un test Google Ads sur 1 à 2 mois,
  
  
• Un budget limité à 1000€/mois,
  
  
• Une analyse de la performance par mot-clé (CPC, CTR, conversions, ROAS)​.
  
  

Objectif : évaluer le potentiel réel avant de déployer plus massivement.

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Une stratégie SEO/SEA complémentaire, pas concurrente

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Un argument récurrent contre le SEA : “On va payer pour des clics qu’on aurait eus gratuitement en SEO”.

C’est faux. Ou en tout cas très exagéré.

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Ce que montre l’expérience, c’est que le SEA capte des clics différents du SEO.
Et qu’en apparaissant deux fois (annonce + lien organique), la marque augmente sa part de clics de +20 à +40%.

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Mais surtout :

• Le SEO capte le fond (requêtes longues, recherche d’info).
  
  
• Le SEA capte le moment (intention d’achat, urgence, promo).
  
  

Ma stratégie pour AFCB repose sur ce duo :

• SEO pour asseoir une autorité long terme (contenu, netlinking, technique).
  
  
• SEA pour activer les temps forts, les offres, ou les segments à fort potentiel.
  
  

Un pilotage fin du budget SEA pour une rentabilité prouvée

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Ce n’est pas parce qu’on lance des campagnes Google Ads qu’il faut tout acheter.

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Ma recommandation :

• Acheter uniquement les mots-clés à fort volume + fort taux de conversion.
  
  
• Exclure les termes peu rentables dès les premières semaines.
  
  
• Optimiser les annonces et les extensions pour améliorer le Quality Score et baisser le CPC.
  
  

Avec ce pilotage, AFCB peut :

• Protéger sa marque,
  
  
• Capter du trafic complémentaire à faible coût,
  
  
• Et maximiser son ROI digital.
  
  

Ce que j’en retiens (et ce que vous pouvez en retenir)

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1. Même un bon SEO ne vous protège pas totalement.
   
   
2. Le SEA n’est pas un luxe : c’est une assurance et une arme offensive.
   
   
3. L’important n’est pas de faire du SEA, mais de bien en faire.
   
   
4. SEO et SEA ne doivent plus être pilotés en silos.
   
   

Aujourd’hui, je continue d’accompagner AFCB dans le suivi de sa performance digitale. Et je recommande à toutes les marques avec une forte notoriété organique de réévaluer leur stratégie SEA.

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➡ Vous pensez être protégé car vous êtes 1er sur Google ?
➡ Vos concurrents n’attendent qu’une chose : que vous ne fassiez rien.

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